𝐏𝐫𝐨𝐜𝐡𝐞-𝐎𝐫𝐢𝐞𝐧𝐭 : « 𝐥𝐞 𝐬𝐞𝐮𝐥 𝐛𝐨𝐧 𝐜𝐨̂𝐭𝐞́, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐞 𝐜𝐨̂𝐭𝐞́ 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐚𝐢𝐱 »

En 2014 puis en 2016, notre pays était frappé par de terribles attentats islamistes. Cette semaine, c’est Israël qui a été la cible de la barbarie lâche et aveugle.

Nous savons au plus profond de nous ce qu’est cette douleur. Nous savons au plus profond de nous que rien ne peut justifier de tels actes.

Nous ne pouvons que condamner, sans ambiguïté, et offrir notre soutien le plus complet à Israël face à l’inimaginable.

Aucun doute n’est permis : il y a un agressé, Israël, et un agresseur, le Hamas qui savait pertinemment que les horreurs commises allaient engendrer une riposte effroyable, et hélas, potentiellement disproportionnée et dévastatrice de l’armée israélienne. En cela, mais aussi en se disséminant avec munitions et lance-roquettes au sein même des institutions civiles à Gaza, le Hamas se révèle être le pire ennemi du peuple palestinien.

Tous les morts sont à déplorer, bien sûr. Chaque civil mort est un mort de trop.

Mais face à cette barbarie, Israël n’a pas d’autre choix que de défendre sa population. Dans le respect du droit international. La menace à laquelle il fait face est limpide : sa propre destruction. La destruction de son peuple.

L’agresseur et l’agressé ne peuvent pas être mis dos à dos. Il ne peut pas y avoir de comparaison. Les terroristes du Hamas ont ciblé, sciemment, plus de 1200 civils et détiennent des dizaines d’otages comme bouclier humain. Là est toute la différence.

Et les partis politiques ou les mouvements qui font semblant de ne pas le voir, ou pire, qui instrumentalisent la situation, représentent une grave menace pour notre société.

Ils prennent le risque d’importer le conflit chez nous. Ils contribuent à la montée de l’antisémitisme. Et cela est insupportable. Inacceptable.

Il reste à espérer une rapide désescalade de cette guerre insensée pour toux ceux qui, innocents, sont pris aux pièges des extrémistes de tous bords… Plaider aussi pour que la riposte épargne les civils et que le respect du droit international, trop souvent bafoué dans chaque conflit, reprenne le dessus !