La défense des droits humains est au centre de notre politique étrangère, qu’il s’agisse de cas individuels (comme le sort d’Olivier Vandecasteele), de la défense de peuples opprimés (les Ouïghours, par exemple) ou de la situation de pays entiers (les agressions subies par l’Arménie, entre autres).
La Belgique a toujours eu à cœur de défendre nos valeurs universelles et de chercher à permettre à chacun d’en bénéficier. Et cela est au cœur de mon engagement.
C’est dans ce cadre que la Chambre a adopté une résolution au sujet de la situation en Égypte.
Alors que le printemps arabe, il y a 12 ans, y avait apporté un grand espoir, force est de constater que les droits de l’homme n’y sont toujours pas garantis. Des hommes et des femmes se lèvent pour réclamer, jour après jour, les mêmes droits face à des autorités qui les leur refusent obstinément.
Nous avons tenu à envoyer à tous ces citoyens épris de liberté un message fort de soutien. Pour les aider à poursuivre ce combat que nous comprenons. Nous qui jouissons, sans toujours pleinement l’apprécier, des droits fondamentaux. Nous envoyons à ce pouvoir sourd et aveugle le message que le sort de leur peuple doit être leur préoccupation. Mais qu’il est aussi notre préoccupation.
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