Les « thérapies de conversion » se basent sur des traitement pseudo-scientifiques pour tenter de forcer une personne à changer son orientation sexuelle, de l’homosexualité ou de la bisexualité à l’hétérosexualité.
Alors que l’Allemagne a déjà rendu cette pratique illégale il y a deux ans, la France vient de suivre son exemple, l’inscrivant dans le Code pénal comme un délit spécifique.
J’ai interpellé la Secrétaire d’État à l’Égalité des chances afin de voir où en est notre pays en la matière. Il m’est, en effet, insupportable d’imaginer que de telles pratiques puissent encore exister chez nous.
Elle m’a rassuré en m’informant travailler sur ce dossier, en collaboration avec le Ministre de la Justice ainsi que l’institution Unia. La réforme attendue du Code pénal devrait intégrer ce nouveau délit.
La Belgique est et doit rester un pays pionnier en termes de droits des minorités sexuelles. Je suivrai donc de près l’évolution de ce dossier et m’assurerai qu’il ne s’agit pas là de paroles en l’air !
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