Jeunes, personnes âgées et isolées, indépendants, acteurs de la culture et de l’événementiel, etc., tout le monde souffre des règles qui nous sont imposées depuis maintenant plus d’un an.
Après les vagues de contamination, c’est un tsunami de mal-être au niveau de la santé mentale qui nous guette !
En commission COVID, et sur demande du Mouvement réformateur, nous avons débattu avec des psychiatres de cette réalité.
La fermeture prolongée de tous les secteurs dits, maladroitement, « non-essentiels » est un cataclysme, non seulement pour les professionnels concernés, mais également pour toute la population, pour qui ils représentent souvent « leur essentiel ».
Le confinement n’est pas que physique, il est également psychologique et nous ne pouvons l’oublier. Et les aides financières qui ont été mises en place n’aideront pas sur ce plan.
J’ai donc plaidé, dans cette commission spéciale, pour que la santé mentale devienne une cause nationale et pour que le plan de relance ne soit pas qu’économique, mais aussi psychologique.
Rappelons-nous en : pour l’OMS, « la santé est un état de complet bien-être physique, social et mental, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ».
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